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Sorti en 2011, l'Olympus M.Zuiko Digital 12 mm f/2, équivalent 24 mm sur les capteurs des hybrides Micro 4/3, a longtemps été la seule proposition autofocus dans cette focale. Avec la sortie du Panasonic Leica DG Summilux 12 mm f/1,4 ASPH, le moment est venu — avec seulement cinq ans de retard — de passer la proposition d'Olympus sur le banc de test.
Avec ses 56 mm de longueur, ce grand-angle Olympus saura se faire très discret sur n'importe quel hybride Panasonic ou Olympus. L'adoption d'un filetage E46 (46 mm de diamètre) le rend compatible avec une large gamme de filtres, à choisir selon vos préférences artistiques. La construction est, comme presque toujours chez Olympus, d'un excellent niveau et la version grise anodisée dont nous disposons pour notre test a plus que très bien vieilli dans le temps. Notez que l'optique n'est pas tropicalisée.
En termes de prise en main, Olympus a opté pour une large bague de mise au point cannelée, tenant bien entre les doigts, mais a fait l'impasse sur la bague de diaphragme dédiée. Il faudra donc contrôler l'ouverture, qui s'étale de f/2 à f/22 par tiers de diaphragme, directement depuis son boîtier. En contrepartie, la mise au point bénéficie du très pratique système clutch. Il suffit de tirer vers soi la bague de mise au point pour passer en focus manuel et la pousser pour repasser en focus automatique. En fait, ce sont exactement les choix inverses que Panasonic a fait cinq ans plus tard. Est-ce mieux ou moins bien ? C'est affaire de goût : dans les deux cas le mécanisme est bien exécuté. Félicitons toutefois l'intelligence du système Olympus, puisqu'en basculant sur la mise au point manuelle, vous bénéficiez à la fois de vraies butées physiques à 20 cm et à l'infini. De plus, le rappel des ouvertures sur le haut du fût fait office d'abaque de profondeur de champ : les amateurs d'hyperfocale apprécieront puisque cette technique permet de ne plus se soucier de la mise au point et de se concentrer uniquement sur l'instant présent et le cadrage.
Avec ses 56 mm de longueur, ce grand-angle Olympus saura se faire très discret sur n'importe quel hybride Panasonic ou Olympus. L'adoption d'un filetage E46 (46 mm de diamètre) le rend compatible avec une large gamme de filtres, à choisir selon vos préférences artistiques. La construction est, comme presque toujours chez Olympus, d'un excellent niveau et la version grise anodisée dont nous disposons pour notre test a plus que très bien vieilli dans le temps. Notez que l'optique n'est pas tropicalisée.
En termes de prise en main, Olympus a opté pour une large bague de mise au point cannelée, tenant bien entre les doigts, mais a fait l'impasse sur la bague de diaphragme dédiée. Il faudra donc contrôler l'ouverture, qui s'étale de f/2 à f/22 par tiers de diaphragme, directement depuis son boîtier. En contrepartie, la mise au point bénéficie du très pratique système clutch. Il suffit de tirer vers soi la bague de mise au point pour passer en focus manuel et la pousser pour repasser en focus automatique. En fait, ce sont exactement les choix inverses que Panasonic a fait cinq ans plus tard. Est-ce mieux ou moins bien ? C'est affaire de goût : dans les deux cas le mécanisme est bien exécuté. Félicitons toutefois l'intelligence du système Olympus, puisqu'en basculant sur la mise au point manuelle, vous bénéficiez à la fois de vraies butées physiques à 20 cm et à l'infini. De plus, le rappel des ouvertures sur le haut du fût fait office d'abaque de profondeur de champ : les amateurs d'hyperfocale apprécieront puisque cette technique permet de ne plus se soucier de la mise au point et de se concentrer uniquement sur l'instant présent et le cadrage.
La principale qualité de l'Olympus M.Zuiko Digital ED... c'est qu'il sait se faire oublier. Avec seulement 130 grammes sur la balance, il pèse quasiment trois fois moins lourd que son lointain cousin f/1,4 de Panasonic. Pour qui n'a pas une utilité majeure du f/1,4, ne photographie que rarement en basse luminosité, n'a pas besoin de marquer une faible profondeur de champ, n'a pas besoin d'une bague de diaphragme, c'est l'objectif de photographie de rue par excellence. Votre épaule et votre sac photo vous remercieront.
Comme évoqué précédemment, la mise au point est, quel que soit le mode adopté, un pur régal. La mise en route demande moins d'une seconde, ce qui fait que le boîtier est presque instantanément prêt à l'usage. Le fonctionnement se fait dans le silence le plus total, pas de cliquetis, rien. Associez cela à une obturation électronique et vous voilà prêt à fondre dans la foule, tel un ninja du grand-angle.
Monture | Micro 4/3 |
Format couvert maximum | 4/3' |
Focale réelle | 12 mm |
Ouverture maximale | f/2 |
Ouverture minimale | f/22 |
Macro (1:1) | Non |